État critique ...

Severus avait utilisé un Portoloin afin d'amener Julianne d'urgence à Sainte-Mangouste. La jeune fille était dans un état critique et était toujours inconsciente. Ayant subit une triple fracture ouverte de la clavicule gauche, une dislocation du genou, reçu un Doloris, un sort bouille sang et un sort de déchirement, sa condition était précaire et inquiètante. Rogue ne perdit donc pas de temps et entra à l'hôpital d'un pas vif, portant sa fille dans ses bras. Sans s'arrêter devant l'acceuil, où la bonne femme lui gueula de lui laisser sa baguette, de ne pas aller plus loin et nian nian, Severus entra dans l'ascenseur et les portes de referma sur lui. Il eu à peine le temps de voir la bonne femme contourner son comptoir. Qu'elle aille au yabe ! Pinçant les lèvres, Rogue baissa les yeux sur sa fille, qui venait de gémir. Cet ascenseur prenait un temps d'enfer à bouger ... il y avait urgence ici ! Ha enfin ! Les portes s'ouvrit et Severus sortie avant de se diriger vers le poste de garde de l'étage des Blessures Matérielles.

- Ma fille s'est fait torturer dit-il froidement à une infirmière sur place


L'infirmière Kennedy vit un grand homme à l'allure sombre sortir des ascenceurs et se diriger vers elle. Il portait une jeune fille visiblement mal en point. Lorsqu'il dit qu'elle s'était fait torturer, elle se dirigea immédiatement vers une salle.

- Suivez moi ! Hardy ... appelle le Médicomage en Chef O'Hara .. vite !

Le Médicomage en Chef O'Hara arriva sur les lieux et prit en charge les soins à la blessée. La jeune fille était salement amochée et avait dut subir des violences dont il n'avait même pas idée ! Son Père avait été envoyé dans la salle d'attente, où il se trouvais actuellement. Délicatement, O'Hara déchira le chandail de la jeune fille, chandail qui ne devait pas être le sien, puisqu'il était beaucoup trop grand pour elle. Il constata alors l'ampleur des dégâts. Sa clavicule gauche avait perçée la peau à trois endroits. Tuméfiée, ensanglantée, l'épaule était déformée et les os à vifs brillaient sous les lumières des chandelles. Grimaçant, le Médicomage remit la clavicule en place. Par chance que la jeune fille était inconsciente, car elle aurait eu un mal de chien ! O'Hara ordonna une perfusion de Potion Contre-Douleur, ainsi qu'une Pousse-Os, afin que la clavicule se soude progressivement. Il désinfecta ensuite la plaie, avant de bander solidement l'épaule de Julianne. Il s'occupa ensuite des diverses lésions qui parsemaient son corps, tels des coups de fouets. L'homme les désinfecta et les banda à leur tour. Par la suite, il passa au genou disloqué et entreprit approximativement les mêmes soins que pour la clavicule fracturée. Il fit ensuite un examen en règle ... tout semblait normal. O'Hara alla ensuite voir le Père de la jeune fille, afin de lui faire part de son état de santé. Il entra donc dans la salle d'attente et lui dit :

- Votre fille est toujours inconsciente, mais son état est stable. Elle a subit une triple fracture de la clavicule gauche, ainsi qu'une dislocation du genou droit. Elle devra porter une attelle à son bras, ainsi que d'être dans une chaise roulante, le temps que son genou soit assez fort pour la porter.

O'Hara n'eut pas le temps d'attendre la réponse de l'homme que, déjà, un autre patient lui arrivait. Il s'agissait d'un jeune Auror, Raito Yagami. Celui-ci fut mit dans la même pièce que la jeune Rogue. Le Médicomage diagnostiqua une implosion des intestins. Habituellement, cela provoquait la mort dans un délai assez court. Le temps était donc compté. O'Hara lança plusieurs sorts de fusions, afin de réduire les dégâts, ainsi que le Reducio Sanguea. Il prescrit une perfusion et surveilla l'état de santé de Raito ... il était stable. Toutefois, nous ne pouvions pas en dire autant du vieil homme ... son état était vraiment grave.

Severus attendait en angoissant dans la salle d'attente. Le Professeur de Potions tournait en rond, pinçant les lèvres et fixant le vide d'un air sombre. S'il perdait sa fille ... s'il perdait sa seule et unique raison de vivre et de résister à ses tendances malsaines ... Plusieurs minutes qui lui sembla des heures passèrent et, finalement, un Médicomage entra dans la pièce. Rogue l'écouta avec attention, sentant son coeur se serrer à l'annonce des blessures de sa fille. Toutefois, elle était saine et sauve ... c'était ce qui lui importait le plus. Il allait poser une question, quand le Médicomage partie en coup de vent. Tant pis ! Il ne lui restait plus qu'à attendre de pouvoir voir Julianne.

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Le lendemain matin

Julianne se trouvais dans son lit. La jeune fille était réveillée depuis plusieurs heures, maintenant. La douleur l'avait réveillée, comme un très mauvais réveil-matin. Son Père se trouvais alors à ses côtés. Julianne lui avait sourit, il lui avait caressé un peu les cheveux, puis il était partie donner son cours à Poudlard. Il lui avait aussi annonçé l'état précaire de son Grand-Père ... les Médicomages craignaient pour sa vie. Une fois son Père partie, Julianne avait tourné la tête vers le lit à ses côtés. Le rideau avait été tiré et elle ne pouvait pas vraiment voir qui s'y trouvais. Toutefois, le dessus de la tête qu'elle pouvais apperçevoir lui avait donné un indice sur l'identité de la personne. Raito ... elle aurait reconnu ses cheveux n'importe où. Julianne avait donc tendue la main et ouvert le rideau. La jeune fille avait observé le jeune homme de très longs instants. Il reposait paisiblement, bien que parfois une grimaçe de douleur passait sur ses traits. Il était beau ... beau et courageux. Il avait risqué sa vie pour elle, alors qu'elle lui avait presque arraché la tête dans la Grande Salle. Julianne eut un léger sourire au moment où il ouvrit les yeux. Puis, il s'assied vivement dans son lit, paniquant à l'idée qu'elle était en danger. Julianne tendit alors la main -- celle non blessée -- et elle la posa sur Raito, qui se recoucha et la regarda. Retirant la main, la jeune fille lui sourit tendrement et dit :

- Tu est mon héros, voilà ce que tu est ... mais tu saignes

Elle pointa le pansement qui se trouvais sur le ventre de Raito et grimaça en tentant de se lever. Merlin, ce que son épaule et son genou lui faisait mal ! Mais, Raito avait ouvert sa blessure et elle devait y voir. Si elle pouvait seulement bouger sa jambe blessée et parvenir à s'asseoir dans la chaise roulante ...

Julianne eut un sourire lorsqu'il la compara à une princesse. Toutefois, elle n'étais pas d'accord avec lui. Être un héros ne signifiait pas pour autant s'en sortir absoluemment indème, bien au contraire ! La jeune fille allait lui dire, lorsque Raito se leva de son lit. Julianne tenta de faire de même, mais la douleur à son genou la cloua au lit.

- Qu'est ce que tu fait ? Ne te lèves pas, tu ...

Raito venait de glisser une chaise vers elle et de lui prendre la main. Julianne baissa le regard sur le pansement sanglant du jeune homme, inquiète de voir de plus en plus de sang le tâcher. Toutefois, elle ne retira pas sa main de celle de Raito et elle releva les yeux vers ce dernier. Il s'inquiètais à savoir s'il avait capturé son grand-père ou pas.

- Tu l'as eu, cesse de t'en faire avec ça ... à ce que Papa m'a dit, il est dans un état plus que critique à quelque part à Sainte-Mangouste sous très bonne garde

Julianne lâcha alors la main de Raito -- non pas qu'elle le voulais vraiment -- et tenta à nouveau de s'asseoir dans le lit. Il saignait ! Elle devait le soigner ... elle ne pouvait pas le laisser comme ça ! Avec un gémissement, elle parvint à s'asseoir et à faire suivre sa jambe blessée, afin de s'asseoir sur le bord du lit. La respiration courte et le front en sueurs, elle regarda vers sa chaise roulante et dit :

- Tu as ouvert ta plaie ... je dois te soigner ... dès que je peux atteindre ma chaise roulante, je m'occupe de toi

Julianne avait les yeux fermés, tentant de faire partir la nausée qu'elle ressentais. Merlin ... elle avait besoin d'une nouvelle dose de Potion Contre-Douleur. Lorsque Raito lui dit de ne pas bouger, elle leva sa main saine et lui fit signe que ça allait. La jeune fille ouvrit les yeux pour le regarder. Il s'excusait de tout, y compris de son état, comme s'il en était responsable. Puis, il lui demanda de se reposer alors qu'il voulait poursuivre sa mission coûte que coûte. La jeune fille sourit doucement et dit :

- Tu est aussi passionné que moi ... crois tu vraiment que je vais rester à me reposer sans faire mon travail, alors que tu est incapable de le faire toi-même ?

Sur ce, Julianne s'étira en grimaça et tira sa chaise à elle. Avec un gémissement douloureux, elle parvint à s'asseoir dans sa chaise roulante. C'était très laborieux, mais elle n'allait pas laisser ses blessures l'arrêter. Pas, elle ! Elle regarda Raito en souriant légèrement.

- Ce n'est pas de ta faute ... ce qui s'est passé est seulement de la mienne, Raito. Il m'a fait croire qu'une amie était en danger et j'ai sauté dans le piège sans réfléchir. Ce qui s'est passé est seulement dut à mon impulsivité et à mon désir de sauver tout le monde. Ça n'a rien à voir avec toi ... tu as fait ton travail. Pour mon père, oublies ça ... je me laisse trop souvent emporter quand on l'attaque. Maintenant ... tu est en convalescence, arrêt de travail indéterminé, ordre du Médicomage en Chef Rogue

D'une seule main, ce qui n'était guère évident, Julianne avança vers l'armoire contenant divers matériels. Elle ouvrit un tirroir et chercha pansements, antiseptiques et autres produits. Elle posait le tout sur ses cuisses, à mesure qu'elle trouvais ce qu'elle cherchait.

( Tu me cherches Raito Yagami ! )

Julianne pinça les lèvres lorsque Raito lui demanda de le laisser partir sans le dire. Mais oui ! C'était ça ! Il avait les entrailles tout ratabla, une plaie ouverte et Monsieur voulait continuer de jouer les héros ! Elle venait de lui dire que le vieux fou était à moitié mort, enfin ! Soupirant, Julianne grimaça et tenta tant bien que mal de se rendre à Raito, avançant à roulant d'une main. Merlin, elle aura besoin d'aide, hormis d'enchanter sa chaise ! Une fois devant Raito, elle se "décortica" afin de prendre la nouvelle baguette que son Père lui avait acheté, la sienne ayant été brisée dans la mésaventure. La jeune fille regarda ensuite Raito et, encore une fois, elle agit avec l'impulsivité qui lui était propre. Smack ! Elle lui fouta un baisé sur la bouche. Et toc ! On allait bien voir s'il aurait encore envie de partir !

- J'ai dit ... tu restes ici et tu te repose, tête de Golem

La jeune fille tendit sa baguette sur le pansement ensanglanté de Raito et l'agita. Le bandage se défit et la jeune fille put voir la plaie. Hum ... pas joli ! Elle ouvrit la fiole d'antiseptique d'un coup de baguette et soupira.

- Tu peux humecter un coton qu'il y a sur mes cuisses avec le produit de la fiole, s'il te plait ? Je n'y arriverai pas d'une main

(tu es passser a a vitesse supereiure :p je veux aller encore plus vite donc jinsiste c ca?XD jplasiante ^^)

Raito venait de recevoir un baiser de la part de Julianne...Il ne savaitpas si c'était pour le clouer si c'était du serieux...Il resta la bouche bée,iletait heureux mais il ne savait pas si c'était reciproque l'aimait t'elle vraiment ou juste pour l'embeter et le laisser rester ici???Il fit neamoins ce qu'elle luidisait de faire et humecta le coton prit sur les genou de Julianne(il fit attention de ne pastoucher n'importe ou il tenait a la vie et a ces joues ^^) et l'imbiba du produit qu'elle tenait....Il la lui tendi ensuite...

( mdr Dans le lit de Sainte-Mangouste, dans notre état ? Pfff ... super Raito ! mdr )

Julianne observait attentivement la réaction de Raito. Elle ne savait vraiment pas pourquoi elle l'avait embrassé comme ça. Il lui plaisait manifestement ... mais ... enfin, son impulsivité lui avait assez joué des mauvais tours comme ça ! Surtout que Raito ne réagissait pas vraiment ... hormis rester là. Et s'il la trouvais complètement moche ? Se mordant un peu la lèvre, Julianne prit le coton que lui redonnait le jeune homme, puis entreprit de désinfecter ses blessures. Elle tapona donc légèrement le coton imbibé sur le ventre de Raito -- hum, les muscles grrr -- tout en évitant le plus possible son regard. Elle se sentais complètement nunuche, maintenant.

- Ça te fait mal ?

Oui, demeurer dans le technique de la Médicomagie. Mais, c'était de plus en plus difficile ... elle avait envie de "bécoter" le bobo. Seigneur ! Il était trop musclé ... Relevant les yeux, Julianne regarda Raito et lui sourit. La désinfection était terminée, il ne restait plus qu'à refermer la plaie et à bander le tout.

- J'ai besoin de ta baguette

( Je suis ptdr ... pleins de doubles sens là )

(XD ca va pas le faire XD sinon pour les double sens j'en ai vu que 2 XD mais ils sont super XD :p)


Raito trouvait Julianne très belle mais il ne savait pas si elle l'aimait vraiment....Avait t'elle fait ca pour le faire taire???Il voulait en avoir le coeur net....Toutfois Julianne lui demanda si ca lui faisait mal l'imbibaton du medicaments...Il ressentait effectivement des picotement mais legèrement Raito avait l'ahabitude de ce blesser....

-ca va je ne sens pas grand chose tu peux y aller...

Il lui tendi ensuite la baguette plus qu'elle l'a voulait....Puis il se rapela de sa ptite problematique et se pencha vers la fille et il l'embrassa quelques secondes...Il voulait voir la reaction de la jeune fille...

-Je.....excuse moi ...j'avai cru...

( Toi aussi tu fait des doubles sens ?? " Sa petite problématique " XDR Désolée, je suis fatiguée )

Julianne prit la baguette de Raito et allait effectuer un sort de suturation, lorsqu'il l'embrassa quelques secondes. Il s'agissait d'un baisé légèrement plus long que celui qu'elle lui avait donné, mais ... elle était loin de s'en plaindre. La jeune fille le regarda, un demi sourire aux lèvres, alors qu'il s'excusait. Elle ne répondit rien, mais agita la baguette sur la blessure du jeune homme.

* Suturo *

La peau de Raito se rapprocha quelque peu, sans pour autant se refermer complètement. Le tout était encore bien fragile, la nature devant suivre son cours. C'était pour cette raison qu'il ne devait pas bouger comme une Limace. La Magie pouvait beaucoup, mais pas tout. Toujours sans un mot, Julianne agita à nouveau la baguette en pensant :

* Bandar *

Les bandages sur ses genoux enveloppèrent l'abdomen de Raito, le serrant un peu afin de lui donner du support. La blessure ainsi soignée, Julianne posa la baguette sur le lit du jeune homme et reporta son attention sur lui.

- Maintenant ... ne bouge plus comme un Verracrasse pas de crasse

Souriant d'un air amusé, Julianne se repencha vers Raito et lui redonna un baisé un peu plus appuyé, avant de le regarder dans les yeux et de dire :

- Tu avais crut ... quoi ?

Raito resta un moment a a regarder puis il s'occupa enfin de regarder les sorts qu'elle lui jetait...Elle venait de lui bander (stop pas de double sens :p)sa plaie qui precedemment avait été refermer....Ils se regardèrent et elle l'embrasssa lui demanda ce qu'il avait cru...

-Je ne...rien....Mais suis-je oblger de ne pas bouger??

Et Raito l'embrassa a nouveau..Puis des bruit de pas se firent entendre peut etre ne s'agissait t'il que d'un effet de son immagination ou bien pur une autre salle e il n'y fit pas attention....

Julianne eu un léger sourire quand il lui demanda s'il devait demeurer immobile. Lorsqu'il l'embrassa à nouveau, la jeune fille leva son bras valide et posa la main sur la nuque de Raito, répondant tendrement à son baisé. Elle se sentais bien comme ça et en aurait presque oublié ses souffrances et ses inquiétudes. Des pas se firent alors entendre, pas que Julianne n'entendit pas plus que Raito et ....

Severus Rogue était passé brièvement par la cafétériat, question d'aller chercher quelque chose à manger à sa fille. Celle ci était dans un si piteux état que le Directeur de Serpentard se sentais presque affectueux. Il remonta à l'étage des Blessures Matérielles et marcha d'un pas lent jusqu'à la chambre que Julianne partageait avec l'Auror Yagami. Il poussa la porte et entra dans la pièce ... pour voir sa fille dans sa chaise roulante -- comment elle y étais parvenue, fouillez-moi -- en train d'embrasser Raito Yagami à pleine gueule.

- Qu'est ce que tu fait là ?

(t'abuse mdr ^^XD)


Raito embrassait Julianne et n'entendit rienlorsque Rogue ouvrit la porte....Il l'avait seulement entendu lorsq'il parla....Il recula atoute vitesse se retourna et sentit une petite douleur a l'épaule....Il regarda Rogue d'un air petillant et très gené en s'efforcant de le cacher....Il allait jouer le mini jeu du petit joueur (XD)

-Eh bien on est ici pour se retablir....Mais je pense que tu voulais parler de ...Enfin bref eh bien .....


Il resta sans voie preferant laisser Julianne parler il l'aiderait dans tous les cas....

( )

Julianne sursauta quelque peu quand la voix de son Père retentie derrière eux, ce qui lui tira une grimaçe de douleur. Elle jeta un regard vers Raito, qui se morfondais de confusion, puis elle se tourna vers son Père, lui offrant le merveilleux sourire Prince.

- Papa ! Mais, comme je suis heureuse de te voir ... ho, mais tu m'as apporté à manger, c'est très gentil

Oui, jouons l'innocence comme s'il n'avait rien vu ! Elle élargie un peu le sourire Prince tout en regardant son Père d'un air de bibiche en extase devant sa grandeur. Si elle lui démontrais de l'admiration, peut-être allait-il rester calme ?

Severus fixa son regard vide sur l'Auror Yagami, qui le prenait pour un idiot. Il allait lui rétorquer une réplique cinglante, quand Julianne s'adressa à lui. Il fixa donc son attention sur sa progéniture et fit une moue froide devant sa tentative visible de l'amadouer. Hum ... oui. Arquant un sourcil, il dit d'un ton lent :

- Réponds ou tu vas t'étouffer avec ton sandwich

Julianne soupira légèrement et allait hausser les épaules avant de cesser son geste en grimaçant. Elle ne devait pas bouger son bras gauche. Si son Père avait besoin d'un dessin pour expliquer ce qu'il avait vu, elle allait le lui fournir.

- J'embrassais Raito ... il me semble que c'était assez évident. Je peux avoir le sandwich ?

Elle tendit la main vers son Père en arquant un sourcil.

Severus plissa les yeux puis avança vers sa fille. Il lui tendit le sac de sandwich, puis jeta un regard noir à Raito avant de s'asseoir vivement dans un fauteuil. Il allait devoir surveiller ce type. Reportant son attention sur Julianne, il dit froidement :

- Ton Grand-Père est mort